Les scientifiques lui ont apporté un très grand intérêt dans les années 1990 car elle s’est montrée efficace sur des souches bactériennes résistantes aux traitements antibiotiques classiques.
Cette huile essentielle possède un fonctionnement particulier. En effet, les molécules qui la composent agissent en désorganisant la membrane plasmique (la peau pour vulgariser) des bactéries.
Il est surprenant de constater que le 1,8-cinéole présent à 15% au sein de cette huile essentielle ne présente qu’une faible activité anti-bactérienne de manière isolée mais qu’il potentialise l’action des terpinènes présents dans l’huile essentielles. Ensemble, ils agissent de manière redoutable sur ces micro-organismes.
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